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La Commission d’Accueil et Tourisme, ensemble avec la Blumar, a organisé pour vous, qui arrivez à notre ville, une série de circuits.
Nous avons cherché a voir les lieux les plus fréquentés par les cariocas, afin de vous montrer la vie de la ville e de son peuple dans l’intimité. Pour cela, rien de meilleur que d’apprécier ses coutumes e les lieux qu’ils préfèrent, ce qui est le plus amimé et situe le visiteur dans une atmosphère magique et vibrante.
Nous avons donc opté de présenter Rio par quartiers, les choisissant pour leur proximité, sans laisser de côté le principal objectif qui est de vous faire sentir notre culture et tradition à travers les lieux les plus prestigieux et les points touristiques les plus intéressants et connus mondialement.
Ainsi, quel que soit le parcours choisi, vous connaîtrez Rio de Janeiro par les yeux des cariocas.
Voici donc notre invitation pour que vous jouissiez de notre hospitalité et puissiez profiter de cette Cidade Maravilhosa.
Jardin Botanique, Parc Lage et Lagoa
Le Jardin botanique de Rio de Janeiro, est considéré comme l'un des dix sanctuaires écologiques les plus importants du monde. Il a été crée par Dom João VI en 1808 comme le jardin d’acclimatation pour des plantes exotiques. Après près de deux siècles, il est devenu l'Institut de recherche du Jardin botanique de Rio de Janeiro. Le parc dispose de 140 hectares et est située au pied du Corcovado. Il contient plus de 6000 espèces différentes de plantes et d'arbres tropicaux et subtropicaux, dont 900 variétés de palmiers. Les visiteurs peuvent se promener le long de ses ruelles, au son des oiseaux indigènes, en profitant du son des pinsons et des grives, comme le faisait Antonio Carlos Jobim notre grand maître, chanteur et compositeur.
Le Parque Lage est l'un des petits bijoux de la ville de Rio de Janeiro. Près du jardin botanique, situé dans le quartier du même nom, il est aussi au pied de la montagne du Corcovado.
Sa superficie est de plus de 52 hectares, et il a été répertorié par l'Institut historique et artistique national (IPHAN) en 1957. Depuis, le palais abrite l’Ecole d’arts visuels, gérée par le Secrétariat d'Etat de la Culture de Rio de Janeiro. Cette oasis naturelle ne fait pas partie de la plupart des itinéraires touristiques, mais cela vaut le détour d’aller voir son majestueux manoir doté d’une élégance naturelle, et sa magnifique forêt de palmiers royaux, qui composent l’ensemble architectural et donnent le sentiment d'être dans une forêt tropicale .
Comme dirait Nelson Rodrigues: "Copacabana vit, par semaine, sept dimanches." Sur sa promenade qui prolonge le mouvement de ses vagues, habitants et touristes, brésiliens et étrangers se mélangent dans les langues, les corps, les sons, les goûts et les regards. Et chaque jour, on peut profiter tous les jours comme d’un dimanche, sur le sable, la mer et les pierres portugaises qui font l'ensemble en mosaïque de la plus célèbre plage du Brésil.
Sa somptueuse courbe comporte deux forts militaires, un à chaque extrémité. Sur le rocher de Leme qui est à l'extrémité est de la plage se trouve le Fort Duque de Caxias, également connu sous le nom de Fort de Leme et sa visite peut inclure une promenade écologique dans la zone protégée de la Forêt Atlantique et une visite du site historique local.
Le Fort de Copacabana est situé sur une pointe de rochers insérée dans la mer. Avec un paysage privilégié couvrant la plage de Arpoador d'un côté et de l'autre, l'ensemble de la courbe de la plage de Copacabana jusqu'au Leme. La visite est enrichie non seulement par le magnifique paysage dans le domaine écologique, avec une réserve de végétation côtière native, mais aussi, avec la découverte de l'imposant monument du Musée, qui propose diverses activités au visiteur. Il a été construit avec l'intention de protéger la baie de Guanabara et abrite des expositions permanente et sans compter un autre délice de Rio: la Patisserie Colombo. Le panorama reste tout de même l'attraction principale. Depuis le Fort vous pouvez voir la plage de Copacabana, le Pain de Sucre et les surfeurs à l'eau.
Communément appelé "la petite princesse de la mer", l'origine du nom Copacabana vient de l'image d'une sainte vénérée au Pérou et qui est arrivée dans la ville de Rio à l'époque du Brésil colonial. Plusieurs années passèrent et la renommée de la plage de Copacabana est devenue internationale. Aujourd'hui, c'est sur cette plage que se déroule une des plus grande célébration du Nouvel An de la planète.
Le front de mer comporte 4,5 km de long et la promenade exhibe le travail de l'architecte paysagiste Burle Max. Elle est composé de pierres portugaises et dessinées en format de vagues, comme un prolongement des vagues de l'océan.
Localisation
Ce paradis se trouve dans le quartier de la zone sud de Rio de Janeiro qui a le même nom que la plage. L'accès le plus pratique et rapide est le métro, qui emmène les touristes de n'importe quel endroit de la ville jusqu'à l'entrée principale de la plage. Ses stations de métro sont le Cardeal Arco Verde, Siqueira Campos et Cantagalo.
Plusieurs bus passant par d'autres quartiers passent par le front de mer, ce qui offre une promenade à travers des paysages à couper le souffle.
Que faire
Les habitants profitent généralement pour la marche, le cyclisme et l'exercice sur le bord, et aussi ils prennent bain de mer. Cela peut se faire à tout moment de la journée ou de la nuit. En été, il est fréquent que les gens profitent de la baignade de nuit, car la chaleur de Rio est forte et la mer de Copacabana se transforme en une piscine eclairée par la lune. Le visuel est souvent incroyable!
La nuit, la plage offre le meilleur en amusement et de divertissement, avec des kiosques, bars et restaurants sur le front de mer et dans les rues avoisinantes. Les restaurants servent des boissons les plus typiques de Rio de Janeiro, comme la caipirinha, et aussi des boison savoureuses.
Tu, Copacabana,
Mais que nenhuma outra foste a arena
Onde o poeta lutou contra o invisível
E onde encontrou enfim sua poesia
Talvez pequena, mas suficiente
Para justificar uma existência
Que sem ela seria incompreensível
Vinícuis de Moraes
© Miguel Camelo